Les sciences humaines basées sur le Coran dans le monde islamique
Les Occidentaux ont essayé de résoudre le problème de la femme il y a 400 ans, et le féminisme a été créé. Ils ont commencé à théoriser il y a 200 ans, et leurs discussions sont entrées dans les lois des Nations Unies, mais le résultat a été l'industrie de la prostitution, considérée comme l'une des industries les plus rentables dans le monde.
Le martyr Sadr estimait qu’il fallait suivre les versets révélés qui étaient la voie à suivre que Dieu avait montrée pour résoudre les problèmes de l'humanité.
Autrement dit, le Coran n'est pas exclusivement un livre d'éthique personnelle indifférent à la société, mais un observateur des développements de la société.
Le Coran présente des solutions aux problèmes et de cette façon, nous pouvons connaître l'ingénierie de la société à partir des étapes de la révélation du Coran. L’occident n’a pas prêté attention aux structures qui reproduisent les problèmes, alors que le Coran y a prêté attention.
Il existe deux différences fondamentales entre le Coran et l’Occident dans la résolution des problèmes. Dans la méthode occidentale, la question des femmes n'a pas été mise en évidence jusqu'à ce qu'un mouvement se produise, mais il y a 14 siècles, l'Islam a abordé ce problème sans qu'un mouvement ne se produise.
Au cours de sa révélation, le Coran propose plusieurs étapes et méthodes pour résoudre le problème des femmes. Les premières sourates révélées au Prophète (psl), prêtent attention à la coutume d'enterrer les filles vivantes, ici le Coran s'adresse aux gens, pas aux croyants, et cherche à créer un changement de vision dans la société. Les sourates présentent des femmes exemplaires comme Asia et Maryam qui sont devenues des exemples et des modèles pour toute l'humanité. Le Coran a aussi combattu les mauvaises traditions qui existaient dans le mariage et le divorce, et a résolu ces questions de façon harmonieuse et soutenu la liberté économique des femmes et leur participation aux affaires sociales et politiques.
Extrait d’un discours de Mohammad Taghi Ahmadi Parto, chercheur et enseignant à l’université
