Une combinaison d’économie et d’éthique
Si la prière du vendredi est un acte de culte, elle est aussi une manœuvre politique. Même dans le djihad, l’Islam accorde une attention particulière aux questions morales, sociales et politiques.
Dans le système islamique, la relation entre le peuple et le chef divin est une relation de bénédiction et de paix.
L’islam ordonne au peuple d'envoyer des salutations au Prophète :
«یا ایّها الّذین آمنوا صلّوا علیه و سلّموا تسلیماً » (Coran : Ahzab 56)
et il ordonne également au Prophète, d'envoyer des salutations à ceux qui paient la zakat :
«خُذ من اموالهم صدقة و صَلِّ علیهم » (Tobe 103)
Dans l'Islam, il y a des jours appelés Eid où, en plus des félicitations, il est important d'aider les démunis à travers la distribution de viande du sacrifice de l'Aïd al-Adha, et de nourrir les affamés lors de l'Aïd al-Fitr, avec la Zakat al-Fitr.
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L'Islam n'est pas une religion qui consiste à manger et à dormir, mais à manger et à nourrir, à faire de bonnes actions et à ne pas être rebelle et excessif.
Quelle école ou religion accorde une attention à tous ces aspects en même temps ? Quoi qu'il en soit, le monde collecte des impôts et l'Islam collecte également le khums et la zakat, mais dans le calcul des impôts islamiques, tous les aspects ont été pris en compte.
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Si l'on compare l'appel à la prière et la cloche de l'église, on constate que les phrases de l'appel à la prière sont pleines de sens, utiles et motivantes, contrairement au son de la cloche.
Si nous comparons la prière de l'Islam et le culte des autres religions, le djihad islamique et les guerres mondiales, le Congrès international du Hadj et d'autres rassemblements, et le système familial en Islam et dans le monde, la supériorité de l'Islam deviendra évidente.
Extrait du livre sur le "Khums" de Mohsen Qaraati
